Songs can be incredibly prophetic, like subconscious warnings or messages to myself, but I often don’t know what I’m trying to say till years later.
Or a prediction comes true and I couldn’t do anything to stop it, so it seems like a kind of useless magic.
The first book from songwriter and Florence + the Machine frontwoman Florence Welch, Useless Magic brings together 288 pages of lyrics, never-before-seen poetry and sketches.
Taken from Welch’s own scrapbook-style journals, the book offers an extraordinary chance to see inside the creative alchemy behind some of Florence + The Machine’s chart-topping anthems.
It also offers unique personal insights into Welch’s own life from her experiences of suffering with an eating disorder to her thoughts on love and what it means to live your life in the glare of the spotlight. .
Useless Magic:
Lyrics and Poetry
by Florence Welch
Publisher Penguin Books Ltd
Imprint Fig Tree
London, 5 July 2018
Number of pages: 288
Language English
ISBN-10: 0241347939
ISBN-13: 978-0241347935
€ 28,95
# New books
Florence Welch
Lyrics and Poetry
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Willem Wilmink (1936-2003) is een van de meest geliefde dichters van Nederland.
Zijn eenvoudige maar treffende gedichten en liedjes, veelal geschreven voor legendarische tv-programma’s als De Stratemakeropzeeshow, J.J. de Bom en De film van Ome Willem, spreken iedereen aan. ‘De oude school’, ‘Deze vuist op deze vuist’ en ‘Ben Ali Libi’ behoren tot de canon van de Nederlandse literatuur. Hetzelfde geldt voor Wilminks hertalingen van Middeleeuwse klassiekers. Hij was een groot kenner van poëzie uit alle tijdvakken en in al haar verschijningsvormen.
Zijn werk is doortrokken van heimwee naar een veilige kinderwereld die nooit heeft bestaan. Naar eigen zeggen is Wilmink altijd elf jaar gebleven, wat aanvankelijk zijn loopbaan en privéleven ernstig frustreerde, maar tegelijkertijd zijn poëtische kapitaal bleek. Met humor en zelfspot maakte hij zijn lange tijd door miskenning en afwijzing getekende leven leefbaar.
Voor In de man zit nog een jongen sprak neerlandicus en journalist Elsbeth Etty met tientallen tijdgenoten en intimi van Wilmink. Het resultaat is een intiem en niets verhullend portret.
Elsbeth Etty (1951) is literair criticus, columnist en voormalig bijzonder hoogleraar literaire kritiek. Ze publiceerde o.a. verschillende essay- en columnbundels. Voor Liefde is heel het leven niet, haar biografie van Henriette Roland Holst, werd ze genomineerd voor de AKO Literatuurprijs en bekroond met de Gouden Uil en de Busken Huetprijs.
In de man zit nog een jongen
Willem Wilmink – De biografie
Auteur: Elsbeth Etty
Uitgeverij: Nijgh & van Ditmar
NUR: 321
Taal Nederlands
Bladzijden 552 pp.
Bindwijze Hardcover
ISBN: 9789038806112
Publicatiedatum: 22-01-2019
Prijs: € 34,99
# New books
Willem Wilmink – De biografie
Auteur: Elsbeth Etty
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Arms and the Boy
Let the boy try along this bayonet-blade
How cold steel is, and keen with hunger of blood;
Blue with all malice, like a madman’s flash;
And thinly drawn with famishing for flesh.
Lend him to stroke these blind, blunt bullet-leads,
Which long to nuzzle in the hearts of lads,
Or give him cartridges of fine zinc teeth
Sharp with the sharpness of grief and death.
For his teeth seem for laughing round an apple.
There lurk no claws behind his fingers supple;
And God will grow no talons at his heels,
Nor antlers through the thickness of his curls.
Wilfred Owen
(1893 – 1918)
Arms and the Boy (Poem)
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Claire
Quoi donc ! la vôtre aussi ! la vôtre suit la mienne !
O mère au coeur profond, mère, vous avez beau
Laisser la porte ouverte afin qu’elle revienne,
Cette pierre là-bas dans l’herbe est un tombeau !
La mienne disparut dans les flots qui se mêlent ;
Alors, ce fut ton tour, Claire, et tu t’envolas.
Est-ce donc que là-haut dans l’ombre elles s’appellent,
Qu’elles s’en vont ainsi l’une après l’autre, hélas ?
Enfant qui rayonnais, qui chassais la tristesse,
Que ta mère jadis berçait de sa chanson,
Qui d’abord la charmas avec ta petitesse
Et plus tard lui remplis de clarté l’horizon,
Voilà donc que tu dors sous cette pierre grise !
Voilà que tu n’es plus, ayant à peine été !
L’astre attire le lys, et te voilà reprise,
O vierge, par l’azur, cette virginité !
Te voilà remontée au firmament sublime,
Échappée aux grands cieux comme la grive aux bois,
Et, flamme, aile, hymne, odeur, replongée à l’abîme
Des rayons, des amours, des parfums et des voix !
Nous ne t’entendrons plus rire en notre nuit noire.
Nous voyons seulement, comme pour nous bénir,
Errer dans notre ciel et dans notre mémoire
Ta figure, nuage, et ton nom, souvenir !
Pressentais-tu déjà ton sombre épithalame ?
Marchant sur notre monde à pas silencieux,
De tous les idéals tu composais ton âme,
Comme si tu faisais un bouquet pour les cieux !
En te voyant si calme et toute lumineuse,
Les coeurs les plus saignants ne haïssaient plus rien.
Tu passais parmi nous comme Ruth la glaneuse ,
Et, comme Ruth l’épi, tu ramassais le bien.
La nature, ô front pur, versait sur toi sa grâce,
L’aurore sa candeur, et les champs leur bonté ;
Et nous retrouvions, nous sur qui la douleur passe,
Toute cette douceur dans toute ta beauté !
Chaste, elle paraissait ne pas être autre chose
Que la forme qui sort des cieux éblouissants ;
Et de tous les rosiers elle semblait la rose,
Et de tous les amours elle semblait l’encens.
Ceux qui n’ont pas connu cette charmante fille
Ne peuvent pas savoir ce qu’était ce regard
Transparent comme l’eau qui s’égaie et qui brille
Quand l’étoile surgit sur l’océan hagard.
Elle était simple, franche, humble, naïve et bonne ;
Chantant à demi-voix son chant d’illusion,
Ayant je ne sais quoi dans toute sa personne
De vague et de lointain comme la vision.
On sentait qu’elle avait peu de temps sur la terre,
Qu’elle n’apparaissait que pour s’évanouir,
Et qu’elle acceptait peu sa vie involontaire ;
Et la tombe semblait par moments l’éblouir.
Elle a passé dans l’ombre où l’homme se résigne ;
Le vent sombre soufflait ; elle a passé sans bruit,
Belle, candide, ainsi qu’une plume de cygne
Qui reste blanche, même en traversant la nuit !
Elle s’en est allée à l’aube qui se lève,
Lueur dans le matin, vertu dans le ciel bleu,
Bouche qui n’a connu que le baiser du rêve,
Ame qui n’a dormi que dans le lit de Dieu !
Nous voici maintenant en proie aux deuils sans bornes,
Mère, à genoux tous deux sur des cercueils sacrés,
Regardant à jamais dans les ténèbres mornes
La disparition des êtres adorés !
Croire qu’ils resteraient ! quel songe ! Dieu les presse.
Même quand leurs bras blancs sont autour de nos cous,
Un vent du ciel profond fait frissonner sans cesse
Ces fantômes charmants que nous croyons à nous.
Ils sont là, près de nous, jouant sur notre route ;
Ils ne dédaignent pas notre soleil obscur,
Et derrière eux, et sans que leur candeur s’en doute,
Leurs ailes font parfois de l’ombre sur le mur.
Ils viennent sous nos toits ; avec nous ils demeurent ;
Nous leur disons : Ma fille, ou : Mon fils ; ils sont doux,
Riants, joyeux, nous font une caresse, et meurent. –
O mère, ce sont là les anges, voyez-vous !
C’est une volonté du sort, pour nous sévère,
Qu’ils rentrent vite au ciel resté pour eux ouvert ;
Et qu’avant d’avoir mis leur lèvre à notre verre,
Avant d’avoir rien fait et d’avoir rien souffert,
Ils partent radieux ; et qu’ignorant l’envie,
L’erreur, l’orgueil, le mal, la haine, la douleur,
Tous ces êtres bénis s’envolent de la vie
A l’âge où la prunelle innocente est en fleur !
Nous qui sommes démons ou qui sommes apôtres,
Nous devons travailler, attendre, préparer ;
Pensifs, nous expions pour nous-même ou pour d’autres ;
Notre chair doit saigner, nos yeux doivent pleurer.
Eux, ils sont l’air qui fuit, l’oiseau qui ne se pose
Qu’un instant, le soupir qui vole, avril vermeil
Qui brille et passe ; ils sont le parfum de la rose
Qui va rejoindre aux cieux le rayon du soleil !
Ils ont ce grand dégoût mystérieux de l’âme
Pour notre chair coupable et pour notre destin ;
Ils ont, êtres rêveurs qu’un autre azur réclame,
Je ne sais quelle soif de mourir le matin !
Ils sont l’étoile d’or se couchant dans l’aurore,
Mourant pour nous, naissant pour l’autre firmament ;
Car la mort, quand un astre en son sein vient éclore,
Continue, au delà, l’épanouissement !
Oui, mère, ce sont là les élus du mystère,
Les envoyés divins, les ailés, les vainqueurs,
A qui Dieu n’a permis que d’effleurer la terre
Pour faire un peu de joie à quelques pauvres coeurs.
Comme l’ange à Jacob, comme Jésus à Pierre,
Ils viennent jusqu’à nous qui loin d’eux étouffons,
Beaux, purs, et chacun d’eux portant sous sa paupière
La sereine clarté des paradis profonds.
Puis, quand ils ont, pieux, baisé toutes nos plaies,
Pansé notre douleur, azuré nos raisons,
Et fait luire un moment l’aube à travers nos claies,
Et chanté la chanson du ciel dam nos maisons,
Ils retournent là-haut parler à Dieu des hommes,
Et, pour lui faire voir quel est notre chemin,
Tout ce que nous souffrons et tout ce que nous sommes,
S’en vont avec un peu de terre dans la main.
Ils s’en vont ; c’est tantôt l’éclair qui les emporte,
Tantôt un mal plus fort que nos soins superflus.
Alors, nous, pâles, froids, l’oeil fixé sur la porte,
Nous ne savons plus rien, sinon qu’ils ne sont plus.
Nous disons : – A quoi bon l’âtre sans étincelles ?
A quoi bon la maison où ne sont plus leurs pas ?
A quoi bon la ramée où ne sont plus les ailes ?
Qui donc attendons-nous s’ils ne reviendront pas ? –
Ils sont partis, pareils au bruit qui sort des lyres.
Et nous restons là, seuls, près du gouffre où tout fuit,
Tristes ; et la lueur de leurs charmants sourires
Parfois nous apparaît vaguement dans la nuit.
Car ils sont revenus, et c’est là le mystère ;
Nous entendons quelqu’un flotter, un souffle errer,
Des robes effleurer notre seuil solitaire,
Et cela fait alors que nous pouvons pleurer.
Nous sentons frissonner leurs cheveux dans notre ombre ;
Nous sentons, lorsqu’ayant la lassitude en nous,
Nous nous levons après quelque prière sombre,
Leurs blanches mains toucher doucement nos genoux.
Ils nous disent tout bas de leur voix la plus tendre :
« Mon père, encore un peu ! ma mère, encore un jour !
« M’entends-tu ? je suis là, je reste pour t’attendre
« Sur l’échelon d’en bas de l’échelle d’amour.
« Je t’attends pour pouvoir nous en aller ensemble.
« Cette vie est amère, et tu vas en sortir.
« Pauvre coeur, ne crains rien, Dieu vit ! la mort rassemble.
« Tu redeviendras ange ayant été martyr. »
Oh ! quand donc viendrez-vous ? Vous retrouver, c’est naître.
Quand verrons-nous, ainsi qu’un idéal flambeau,
La douce étoile mort, rayonnante, apparaître
A ce noir horizon qu’on nomme le tombeau ?
Quand nous en irons-nous où vous êtes, colombes !
Où sont les enfants morts et les printemps enfuis,
Et tous les chers amours dont nous sommes les tombes,
Et toutes les clartés dont nous sommes les nuits ?
Vers ce grand ciel clément où sont tous les dictames,
Les aimés, les absents, les êtres purs et doux,
Les baisers des esprits et les regards des âmes,
Quand nous en irons-nous ? quand nous en irons-nous ?
Quand nous en irons-nous où sont l’aube et la foudre ?
Quand verrons-nous, déjà libres, hommes encor,
Notre chair ténébreuse en rayons se dissoudre,
Et nos pieds faits de nuit éclore en ailes d’or ?
Quand nous enfuirons-nous dans la joie infinie
Où les hymnes vivants sont des anges voilés,
Où l’on voit, à travers l’azur de l’harmonie,
La strophe bleue errer sur les luths étoilés ?
Quand viendrez-vous chercher notre humble coeur qui sombre ?
Quand nous reprendrez-vous à ce monde charnel,
Pour nous bercer ensemble aux profondeurs de l’ombre,
Sous l’éblouissement du regard éternel ?
Victor Hugo
(1802-1885)
Claire
(Poème)
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Im Junius 1783
Vergebens steigt der Tag in lichten Farben
Vergebens hüllt in Schimmer sich die Nacht
Mein Herz bleibt kalt, seitdem die Wünsche starben
Die schön dich mir, du Tag und Nacht! gemacht
Obs Winter ist, ob Veilchen um mich blühen
Ob Rabe krächzt, ob Lerche um mich schwirrt
Obs Mondennacht, ob Donnerwolken ziehen
Ist der gleichviel, die ohne Wünsche irrt.
Sophie Albrecht
(1757-1840)
Gedicht
Im Junius 1783
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Er is steeds minder te koop in de winkel van juffrouw Fijnhout. Er komt weinig geld binnen. En daar moet wat op gevonden worden, want ze moet ook haar medicijnen kunnen betalen. En de abonnementen op de meer dan twintig missieblaadjes.
Daar zitten ze steeds in te bladeren, op zoek naar foto’s van China. Die knippen ze uit en plakken ze in. Ze hebben al drie schriften vol met foto’s van katholieke Chinese kinderen, zodat het lijkt of bijna heel China katholiek is, maar in werkelijkheid zijn het er maar een paar duizend tussen de miljoenen. Volgens Tijger kijken de Chinezen zelf naar de katholieken zoals de mensen hier naar de Jehova’s getuigen kijken: een paar fanatieke dwepers die de bijbel naar hun hand zetten en hun kinderen nog liever dood laten gaan dan ze in te laten enten tegen pokken en kinderverlamming.
Om de rekken in de winkel minder leeg te laten lijken leggen de jongens er van alles bij. Zomerappels, maar die krijgen al vlug een oud vel. Niemand koopt appels, omdat de meeste mensen zelf zomerappels in de tuin hebben. Overbodig speelgoed. Te klein geworden laarzen. Schaatsen met lint, maar wie koopt er in de zomer schaatsen? Oude jaargangen van missieblaadjes, maar iedereen wordt al onder die dingen bedolven. Soms wijst juffrouw Fijnhout iets aan in haar kast om in de rekken te zetten, een servies, kristallen glazen, een blauwe puddingvorm in de vorm van een vis, een zilveren asbak. Ze doet er glimlachend afstand van omdat ze ze toch niet meer gebruikt. Soms koopt iemand wat, niet omdat hij iets nodig heeft, maar omdat niemand wil dat juffrouw Fijnhout in armoede sterft.
In de winkel blijven vooral spullen over die wachten op volgende seizoenen, voor de herfst en de winter. Overgebleven pakjes zaaigoed voor tomaten, bonen en prei, die onder een luchtdichte glazen stolp worden bewaard en ook volgend jaar nog goed zijn.
Bij het leegruimen van een kast vindt Mels spullen die jarenlang achter andere spullen verborgen zijn gebleven. Een foto van een jongeman met de toen nog jonge juffrouw Fijnhout, een meisje nog. De jongeman heeft een arm rond haar schouder geslagen. Mels denkt dat de foto met opzet op de bovenste plank is gelegd. Achteloos legt hij hem op de hoek van de tafel. Ze ziet het direct en pakt hem op.
`Nadat die foto is gemaakt, heb ik hem nooit meer gezien.’
`Wie is het?’
`Tom, de oudste zoon van de weduwe Hubben-Houba. De broer van directeur Frits. Het was zijn laatste dag hier. Hij ging studeren, in Amerika. Een paar jaar later zou hij terugkomen, om zijn moeder op te volgen en met mij te trouwen. Ik heb nooit meer iets van hem gehoord. Zijn jongere broer Frits heeft de zaak alleen overgenomen.’
`Wist zijn moeder niet waar hij was?’
`Dat denk ik wel, maar die sprak niet met mij. De rijk geworden familie haalde haar neus op voor de dochter van een dorpssmid.’
`En andere jongens?’ vraagt Mels, de foto bekijkend waarop ze een knappe, jonge vrouw is.
`Eerst heb ik te lang gewacht. En daarna was ik te zeer teleurgesteld. En later vond ik het wel goed zoals het ging. Van mijn winkel kon ik bestaan.’
Mels ruimt alles weer op. Hij legt de foto’s op een schapje waar juffrouw Fijnhout ze kan pakken zonder op te staan.
Tijgers moeder komt Mels aflossen, want juffrouw Fijnhout mag niet meer alleen zijn. Om de beurt blijven de vrouwen uit de buurt ‘s nachts bij haar.
Mels gaat naar huis.
Ze hebben bezoek. De moeder van Jacob zit in de kamer. Ze drinken thee.
`Ik heb wat voor je meegebracht’, zegt Jacobs moeder. Uit haar tas haalt ze het schrift. `Jacob wilde dat ik de verhalen die hij heeft opgeschreven aan jou gaf.’
`Wilt u ze zelf niet houden?’
`Ik kan niet lezen. Jacob heeft vier jaar in een sanatorium gelegen. Daar heeft hij leren lezen en schrijven.’
`En vioolspelen?’
`Wij maken allemaal muziek. Dat is hem met de paplepel ingegoten.’
`Dank u voor het schrift’, zegt Mels. `Jammer dat ik Jacob maar zo kort heb gekend.’
`Lang genoeg om vrienden te worden.’ Jacobs moeder staat op. Mels’ moeder brengt haar naar de deur.
`U komt nog maar eens aan’, zegt moeder.
`Wij gaan hier weg’, zegt Jacobs moeder. `Wij hebben hier weinig geluk gevonden. Misschien gaat het ons ergens anders beter.’
Ton van Reen: Het diepste blauw (089)
wordt vervolgd
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