Guillaume Apollinaire: Pour Madeleine Seule
Pour Madeleine Seule
Lune candide vous brillez moins que les hanches
De mon amour
Aubes que j’admire vous êtes moins blanches
Aubes que chaque jour
J’admire ô hanches si blanches
Il y a le reflet de votre blancheur
Au fond de cet aluminium
Dont on fait des bagues
Dans cette zone où règne la blancheur
O hanches si blanches.
Guillaume Apollinaire
(1880 – 1918)
Pour Madeleine Seule
fleursdumal.nl magazine
More in: Apollinaire, Guillaume, Archive A-B, Guillaume Apollinaire